Vendredi 12 juillet à partir de 12 h 20

Jusqu’à 14 h 15, seuls les espaces extérieurs du musée sont accessibles, gratuitement, pour assister aux animations autour du passage de la flamme olympique. Le site des vestiges de la ville gallo-romaine est ouvert aux horaires habituels, à partir de 10 h.

A l’occasion du passage de la flamme olympique, le MuséoParc Alésia crée un événement au cœur de l’événement. Pour annoncer l’arrivée de la flamme, les danseurs de la compagnie Hervé Koubi interpréteront un extrait du spectacle “Sol Invictus”, une œuvre chorégraphique mettant en scène, et surtout en lumière, l’amour comme le garant de la paix dans un monde en tensions qui recèle une force plus puissante que tout : la communion. Des reconstituteurs grecs se mêleront aux Gaulois et aux Romains ainsi qu’à des sportifs amateurs et des cavaliers du lycée La Barotte pour saluer la flamme lors d’une trêve olympique tout au long de son parcours à l’extérieur et à l’intérieur du musée. Le passage de la flamme sera également célébré par un grand bal, une chorégraphie créée spécialement par la compagnie Hervé Koubi et s’inspirant de la gestuelle des sportifs. Les habitants du territoire, danseurs amateurs, sportifs de toutes générations confondues, seront rassemblés pour un bal flamme. L’événement se clôturera avec le spectacle équestre “Olympus” créé par le lycée La Barotte.

Détails du programme :  

Toutes les animations autour du passage de la flamme sont gratuites.

Extrait du spectacle “Sol Invictus” par 17 danseurs de la Cie Hervé Koubi

De 12 h 20 à 12 h 40

En annonce à l’arrivée de la flamme, Hervé Koubi rassemble 17 danseurs venus du monde entier pour un ballet aérien mettant en scène la puissance de la danse qui rassemble et réunit les peuples et les cultures.

Bal flamme

De 12 h 43 à 13 h 08  

Pendant le passage de la flamme, à l’extérieur et à l’intérieur du musée, des danseurs amateurs, sportifs et des habitants du territoire, de tous âges, se rassemblent pour un grand flash mob sportif.

Spectacle “Olympus, un siècle d’équitation olympique”

A partir de 13 h 08
Durée : 1 h  

A la suite du passage de la flamme, les élèves de terminale Conduite et Gestion de l’Entreprise Hippique du lycée La Barotte de Châtillon-sur-Seine présentent un spectacle équestre retraçant l’histoire de l’équitation aux Jeux Olympiques. Plusieurs tableaux présenteront le travail à pied, le concours complet avec obstacles, la voltige, le dressage…

Ouverture des espaces intérieurs du musée
à 14 h 15

Top chrono

Pour tout savoir en un temps record sur Alésia et les Jeux olympiques de l’Antiquité !

Durée : 15 min
Inclus dans le billet d’entrée. 

À 14 h 45 : Les armées gauloises et romaine
À 15 h 15 : Ô Sport : les épreuves
À 15 h 45 : La ville gallo-romaine
À 16 h 15 : Ô Sport : la victoire
À 16 h 45 : Le mythe gaulois
À 17 h 15 : Ô Sport : l’Antiquité dans les Jeux modernes

En piste

30’ pour découvrir un sport olympique antique et s’entraîner !

Durée : 30 min
Inclus dans le billet d’entrée. 

À 15 h 30 : Lancer de disque
À 16 h 30 : Saut en longueur

Sur le site des vestiges de la ville gallo-romaine

Top chrono

Picorez la ville gallo-romaine pour découvrir l’essentiel de son histoire.

Durée : 15 min
Inclus dans le billet d’entrée

À 14 h 45  : Le théâtre dans la ville
À 15 h 30  : Temples, dieux et offrandes
À 16 h 15  : Basilique et place publique, lieux de la vie civique
À 17 h  : Le monument d’Ucuetis
À 17 h 45  : Habitations et artisanat à Alésia

Vendredi 12 juillet à partir de 12 h 20

1 h de Dijon
2 h 30 de Lyon
2 h 45 de Paris

Gare TGV de Montbard
Gare TER Les Laumes-Alésia

Billetterie

Hervé Koubi, parcours artistique :

Formé à “l’École de la danse”, notamment chez Rosella Hightower, Hervé Koubi débute sa carrière d’interprète dans des pièces de Jean-Christophe Paré et d’Emilio Calcagno.
Danseur ensuite au Centre Chorégraphique National de Nantes Claude Brumachon et Benjamin Lamarche puis au Centre Chorégraphique National de Caen avec Karine Saporta et dans la Compagnie Thor à Bruxelles avec Thierry Smits, il décide de développer son projet chorégraphique en 2000.
C’est d’abord la tradition, avec toute la transmission orale et corporelle, qui capte son intérêt. Une danse qui rassemble, qui unit, qui fait les liens entre les bals d’autrefois, les raves parties et les rassemblements dansés d’aujourd’hui.
Ce sont ensuite des notions de traces, de mémoires, de filiations qui le conduiront notamment en Algérie, à la recherche de ses racines. Il envisage la porosité des techniques entre elles comme un espace d’expérimentation qui dépasserait les cadres et les appartenances techniques et esthétiques.

«Sol Invictus sera lumineux, généreux et universel. À mi-chemin entre physicalité hip-hop et élévation classique, ce sera une déclaration d’amour, ma déclaration d’amour à la danse, à son passé, à son présent, à son avenir.»
Hervé Koubi